Une information cruciale pour les entreprises qui cherchent à fidéliser leur personnel. Et éviter la fuite des talents.
Principal constat de l’étude: les travailleurs heureux sont prêts à travailler entre 4,9 et 6,6 années de plus que les travailleurs peu ou pas du tout heureux sur le plan professionnel.
Les travailleurs belges interrogés s’attribuent eux-mêmes en moyenne un score de bonheur professionnel de 4,5 sur 6.
13% des répondants indiquent ne pas être heureux au travail et, à l’inverse, 13% indiquent y être très heureux. Avec toutefois une très légère différence hiérarchique: 91 % des dirigeants sont heureux sur le plan professionnel, contre 85 % des non-dirigeants.
Pour entretenir un niveau de bonheur élevé, Securex conseille de développer des I-deals adaptés à chaque collaborateur. Une sorte de contrat individuel entre l’employeur et le travailleur, par lequel ils s’accordent tant au niveau du contenu de la fonction que du niveau du salaire, du lieu et des horaires prestés.
L’employeur doit donc essayer de combiner au mieux les attentes des travailleurs et les besoins et possibilités de l’organisation.
Securex ajoute -sans préciser si cela ressort de l’étude- qu’un travailleur peut aussi contribuer à son propre bonheur au travail en prenant soin de sa santé mentale et physique et en «mettant tout en œuvre pour utiliser correctement ses compétences et continuer à les développer».
source : entreprendretoday.be